La biologie ainsi que la sociologie sont toutes deux des matières étudiées en classe. Elles ont différents domaines d’application dans notre quotidien. Quelles matières nous permet d’apprendre plus sur le sexe. ? Découvrez-la proposition d’un gynécologue suisse sur ce sujet.
Diffusion de films pornographiques comme méthode d’éducation sexuelle
Avec l'essor d'Internet, les films pornographiques sont accessibles à un plus large public international. A chaque instant, des dizaines de milliers de personnes en regardent à travers le monde. Pas uniquement les adultes, les enfants s’y intéressent également.
Face à ce sujet, sensible Johannes Bitzer propose d’introduire dans le programme éducatif des séances de films pour adultes. Dans son ouvrage intitulé « Health Forecast », il montre que cette aide à prévenir des risques liés à la visualisation excessive de vidéos obscènes. En effet il dit : « Etant donné qu’ils sont exposés à cela, il serait mieux de leur apprendre à comprendre et à faire la distinction entre ce qu’il regarde et la réalité. »
Condition de préparation pour le cours d’éducation sexuelle en classe
Cette initiative requiert de nombreuses préparations. Pour commencer, elle doit être acceptée du côté des associations d’enseignants. Ces derniers sont effrayés par les réactions négatives de la part des parents. Certains professeurs comme Dagmar Rösler, ont compris l’objectif de ce projet. Elle a déclaré : « Je suis capable de comprendre cette démarche. Cependant toutefois, je ne pense pas être en mesure d’y aller jusqu’au bout ». De plus, elle pense aussi que la plupart des enseignants risque d’être confronté à d’autres difficultés.
Pour finir, il faudrait poser la question aux élèves pour avoir leur avis par rapport à cela. Même si les parents acceptent l’idée, il ne faut pas oublier les personnes concernées. C’est une initiative qui doit se faire sur la base du volontariat. Le Docteur Johannes Bitzer insiste aussi en disant : « Il ne faut obliger aucun enfant. Ils ont le droit de refuser. ».